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A l’origine du post, dans lequel je demandais quelques précisions sur la durée, la 1re partie…. J’ai aujourd’hui toutes mes réponses puisque j’ai assisté hier au concert au Vendéspace à Mouilleron le Captif (85).
Côté pragmatique :
Pas de 1re partie, début à 20h10. Fin à 22h30.
Côté émotions : un superbe concert.
Dès la 1re chanson, on se dit qu’on n’est pas venu pour la voix et la rythmique de Renaud. Mais la non-surprise passée, on fait comme Alice au pays des merveilles : on suit le lapin blanc qui nous emmène dans un terrier sans fin. On suit, on dévale, on se laisse emporter par la générosité de Renaud, son envie de tout donner. On redécouvre de vieux tubes pas écouté depuis un bon moment. Et on glisse, on glisse. Vers le bonheur sans fin, les émotions qui vous serrent le cœur. Parce que le Menhir est toujours debout, et que ce n’était pas gagné, parce qu’on ne peut s’empêcher de se demander si on le reverra de si tôt. Pierrot, Manu, la pêche à la ligne, son bleu, la téloche, Mistral Gagnant bien sûr, ils sont tous là. Quelques nouvelles bien entendu. 6 je crois. Une playlist qui a évolué si je relis celles postées précédemment. Pas de rouge sang, pas sirop de la rue, de cheveu blanc, mais Deserteur.
Un rappel pot pourri comme il dit. Et de l’émotion, beaucoup d’émotion. Parce qu’il reste un Monstre Sacré.
Et puis il faut ressortir du terrier à grand regrets. 22h30, fin du concert. Un peu sonné. Un peu triste. Un peu content. Beaucoup ému. Je n’avais pas anticipé ce que représentait ce concert, ce retour.
Merci à lui pour ces 2h30 d’apesanteur, pour ce qu’il continue de nous procurer.
Côté pragmatique :
Pas de 1re partie, début à 20h10. Fin à 22h30.
Côté émotions : un superbe concert.
Dès la 1re chanson, on se dit qu’on n’est pas venu pour la voix et la rythmique de Renaud. Mais la non-surprise passée, on fait comme Alice au pays des merveilles : on suit le lapin blanc qui nous emmène dans un terrier sans fin. On suit, on dévale, on se laisse emporter par la générosité de Renaud, son envie de tout donner. On redécouvre de vieux tubes pas écouté depuis un bon moment. Et on glisse, on glisse. Vers le bonheur sans fin, les émotions qui vous serrent le cœur. Parce que le Menhir est toujours debout, et que ce n’était pas gagné, parce qu’on ne peut s’empêcher de se demander si on le reverra de si tôt. Pierrot, Manu, la pêche à la ligne, son bleu, la téloche, Mistral Gagnant bien sûr, ils sont tous là. Quelques nouvelles bien entendu. 6 je crois. Une playlist qui a évolué si je relis celles postées précédemment. Pas de rouge sang, pas sirop de la rue, de cheveu blanc, mais Deserteur.
Un rappel pot pourri comme il dit. Et de l’émotion, beaucoup d’émotion. Parce qu’il reste un Monstre Sacré.
Et puis il faut ressortir du terrier à grand regrets. 22h30, fin du concert. Un peu sonné. Un peu triste. Un peu content. Beaucoup ému. Je n’avais pas anticipé ce que représentait ce concert, ce retour.
Merci à lui pour ces 2h30 d’apesanteur, pour ce qu’il continue de nous procurer.
Au suivant ! Au suivant ! ♪♫ ♪♫