Paris (du 25 au 29.10.2016)

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 Céline Caron    Renaud le Phénix                  25/10                                                                                       

  Deuxième fois en 10 jours … La voix de mieux en mieux malgré une bronchite. Par contre j ai trouvé le public un peu mou ce soir sauf sur la fin , alors les prochains mettez le feu des le début, il le mérite amplement. Je vais tenter certainement une troisième fois…

 Jean-Sébastien Schaeffer  @Mail Phénix Tour 25/10

J’ai vu Renaud pour la première fois en 1986 avec le Karaboudjan (à Béziers qui n’était pas facho à l’époque), puis 2 fois en 88/89 (Zénith et Amiens), ensuite au Casino de Paris, à la mutualité, aux eurockéennes en 95, la tournée boucan d’enfer à Beauvais et la tournée Rouge Sang à la fête de l’huma. Inutile de dire que je me suis construit avec le frangin.

J’ai longtemps hésité à y aller cette fois ci car Renaud slammant qu’il embrasse un flic, ça ne me plaisait pas du tout et surtout j’avais peur d’un public trop curieux, trop consommateur de TF1… Mais en même temps, ma fille de 11 ans ne l’avait jamais vu et pis merde, c’est Renaud quand même… Je n’ai acheté mes places que le jeudi précédent ce mardi 25 octobre. Tiens c’est drôle, c’était le 22 octobre 1988 que je l’avais vu pour la première fois dans son Zénith.

Trèves de bavardages. On arrive face à la baleine grise ma fille et moi vers 19h30, la salle est loin d’être pleine, on se faufile, on arrive au deuxième rang et à 20h Gauvain Sers entre en scène pour nous offrir un très chouette moment durant environ une demi-douzaine de jolies chansons. Ce casquetté en velours côtelé marron est pétri de talent. Pas étonnant que mon idole est flashé sur lui. Et puis, un tunnel projeté sur une toile illumine la salle, la vue nous fait entrer dans ce tunnel et la silhouette d’un type qui a dû naître sur un camion citerne apparaît sur la musique de « toujours debout ». L’écran tombe et Renaud est bien là. La voix est bien rocailleuse mais ça reste une agréable surprise tellement je m’attendais à pire. A la fin de cette première chanson, il invite les enfants présents à venir s’installer devant la barrière qui sépare la scène de la foule. Ma fille fonce s’installer au pied du chanteur énervant avec un sourire terrible. La set list est vraiment pas mal. Je n’ai pas trop (en fait pas du tout) applaudi sur « j’ai embrassé un flic ». Pour le reste, je suis reparti 25 ans en arrière. Il a dédié « morts les enfants » aux enfants d’Alep, et c’est bien. Il a aussi dédié « Hyper Casher » à Raphaël Mezrahi présent dans la salle. Je suis encore plus étonné sur le Lolaaaaaaaaaaaa de « Morgane de toi ». Renaud est assez discret au niveau de la relation avec la public et son regard reste souvent dans le vide mais il assure quand même. Il pousse le vice jusqu’à jouer de la guitare assez mal. Par contre il a des zicos qui assurent même si Ohayon se la joue un peu trop guitare-héros. Le son dans le Zénith est vraiment bon, ce qui est difficile pour cette salle. J’ai adoré chanter faux avec lui à nouveau, avec une mention très particulière pour « la médaille » et une émotion forte sur « son bleu » qui reste une de mes préférées. Il n’a pas joué « le sirop de la rue » et c’est dommage. Le décor est somptueux, tout en vidéo mais assez bien foutu avec une qualité d’image impressionnante. Je tairai le final pour ne pas spoiler même si je savais ce qui se passait avant de venir. Le gros point noir est ce qui m’avait fait peur dès le début : une partie du public qui vient voir un chanteur célèbre avant que ce ne soit plus possible. Et raz le bol de tous ces cons qui ne viennent que pour filmer avec leurs portables, c’est vraiment agaçant que certains soient presque offusquer que tu bouges au deuxième rang, milieu de la fosse parce que ça risque de gâcher leur super vidéo. Spéciale dédicace aux agents de sécurité qui éclairent avec leur lampe torche ceux qui filment avec une lumière sur leur téléphone. Renaud termine par un pot pourri (vraiment très pourri selon ses dires) dont le choix des titres se révèle fameux. Les lumières se rallument, je récupère ma fille ravie et nous rentrons plus qu’heureux. Je sais que désormais, quoi qu’il arrive, un concert de Renaud sera toujours pour moi un putain de moment de bonheur et d’émotions. Alors s’ils y en a qui comme moi hésitent à retourner voir un vieux chanteur décoloré (qui roule en mini cooper, si si je l’ai vu), je ne peux que leur dire d’y aller. Merci pour tout Renaud. Et « tout » c’est pas beaucoup, c’est tout !

 Gauvain Sers  (Paris Zénith )  26.10.2016

On a beau en avoir déjà fait 6, on ne s’habitue pas. On ne tombe pas dans la routine. Loin de là. Et heureusement. On a toujours des étoiles plein les yeux avec Martial et on savoure chaque seconde où nos pieds foulent cette scène mythique. Et t’inquiètes qu’on mesure la chance qu’on a d’être là où on est. Encore une fois merci aux spectateurs de nous faire cet accueil là tous les soirs… Je crois que Renaud a raison quand il dit qu’il a le meilleur public de France. Et en plus, y veut bien le partager. C’est la grande classe quoi. Rendez-vous à 19h45 pour le chapitre 7.

 Nicolas Ganz (Facebook)

25 et 26 octobre 2016, premières dates de la deuxième semaine du Frangin Renaud sur la scène du Zénith de la Porte de Pantin, devant un parterre de fidèles à l’unisson et toujours debout, comme notre Phénix, en fosse comme en tribune ( surtout moi, entre deux gradins les escaliers menant aux bars-boutiques ).

Parmi nous mardi 25, dans la salle, trois invités tribune VIP qui ont leurs titres dédicacés : ses amis, l’humoriste Raphael Mezrahi ( pour lui ” Hyper Casher ” ) et Vincent Lindon ( pour lui ” Morgane de toi “, titre que le comédien a repris pour ” La Bande à Renaud ” ), l’un de mes acteurs français préférés car aussi engagé que Renaud …
Et le chanteur Dave.
Et mercredi 26, un ami commun au Frangin et moi, est présent dans le public aficionado : Marco Marc Naretto alias ” l’Asticot ” ( son surnom lors de Rouge Sang Tour ). ” Mercredi, jour des gosses “, comme il le dit, Marco est venu en famille avec sa douce chère et tendre Nicole et leurs enfants.
Dès le début du concert, avant que Docteur Renaud ne fasse le portrait de Mister Renard, le Frangin convie avec toujours autant de tendresse les gamins de moins de 12 ans à venir s’asseoir sur les sièges devant les barrières fosse.
Et Ren s’excuse à l’avance de sa grippe de saison par une pirouette dont il a le secret ” y a-t-il un médecin dans la salle ce soir ? ” : sa bronchite et son rhum n’ont pas raison du Phénix qui anesthésie la douleur par une perf vocale soutenue dans le pop rock, avec une souplesse recherchée dans la douceur du piano-voix et trouvée en slamant pour reposer la voix …
” Marche à l’ombre “, le Frangin ? Non, ” Laisse ( pas ) Béton ” Renaud !! Mais tonne avec fantaisie les ” Etudiants poil aux dents ” qui se cherchent un avenir dans cette société ruinée.
L’aller – retour in London n’a pas abîmée la bande son de ma vie dont Frangin Renaud fait parti depuis toujours : je pars à ” La pêche à la ligne “, je rêve de voir la femme de ma vie ” En Cloque ” et de dire à ma petite Morgane : je suis ” Morgane de toi ” et de ta maman … Tout en chuchotant ” Mistral gagnant “, quand Renaud parle à ” Manu ” avant d’évoquer Pierrot.
Avec ce si bel hymne à la paix : voilà Frangin comment présenter ” La Ballade Nord-Irlandaise ” !
PAIX comme ce vœu de bonheur pour les enfants de Alep auxquels Renaud dédie ” Morts les enfants ” avant notre duo sur caravane maboule ” Manhattan-Kaboul “.
” Les Mots ” sont toujours aussi beaux sous la plume et dans la voix de Renaud. Moi aussi, oui, ” J’ai embrassé un flic “, comme un reportage en rimes de ce 11 janvier 2015 de manif’ pacifiste.
Je m’imprègne toujours de ce ” Hyper Casher “, émouvant hommage pour se souvenir que l’horreur est inhumaine.
Le slam magnifique sur ” Ta batterie ” m’émeut comme ” La vie est moche et c’est trop court “, l’un des plus beaux textes de Ren sur la vie mais si lui n’aime pas la chanson.
Avant de reprendre la mer ” Dès que le vent soufflera “, danser sur des airs de Java, de tango, de rock n’ roll et de slow, avec ” Germaine ” … Avec Brigitte, ma partenaire de charme rencontrée ce mercredi soir, nous avons danser un rock-slow mélangé les yeux dans les yeux , et chanter un duo improvisé avec notre Renaud … Fabuleux.
Anti militariste notoire comme Renaud, je n’accepte aucune décoration si ce n’est ” La médaille ” du ” Déserteur ” et je tape moi aussi toujours sur les ” 500 connards … ”
Sûrement que sur ces 500 connards, j’en jetterai aussi … des Cailloux du Marchand
” Dis Papa, quand c’est qu’y passe
Le marchand d’ liberté
Il en a oublié un max
En f’sant sa tournée
( … )
Dis Papa, quand c’est qu’y passe
Le marchand d’ tendresse
S’il est sur l’ trottoir d’en face
Dis-y qu’y traverse
J’ peux lui en r’filer un peu
Pour ceux qu’en ont b’soin
J’en ai r’çu tellement mon vieux
Qu’ j’ peux en donner tout plein ”

De la tendresse, de la générosité, Renaud en donne tout plein par son humanité.

Le Phénix a ouvert le concert par ” Toujours Debout ” et fini le spectacle avec son medley final clôturé par ” Fatigué ” … tout en nous rassurant : ” Fatigué, oui, mais Toujours Debout ! ” toujours vivant, oui, avec la banane … et ça fait plaisir de le voir comme ça, mon Frangin.

 Bruno  (Mon forum à moi ) 

PARIS ZÉNITH 26 octobre 2016
En route pour Paname, avec la banane…

Renaud s’est invité en MP3 et même Gauvin Sers et nous roulons en chansons. Après moult bouchons dans la bouteille aux bulles carboniques, nous n’arrivons pas encore au Zénith, mais à son premier étage, l’ascension se fera en musique.

Après l’étape des tapes, celle des palpations, nous trouvons notre place grâce à une charmante hôtesse qui nous installe. Ça devient de plus en plus rock & roll, les concerts… heu, non, je rigole.

Bref, nous sommes assis avant d’être toujours debout. Gauvins Sers commence son tour de chants même s’il reste sur place mais c’est comme ça qu’on dit. Il aime bien parler entre ses chansons et placer le mot « Renaud » très souvent ce qui plaît au public.

D’ailleurs petit retour en arrière, c’est le patron lui-même qui l’introduit vocalement au début de son spectacle, il l’introduit en tout bien tout honneur, cela va de soi. Je connaissais les chansons du jeunot et j’apprécie ses textes, ses mélodies, il assure le Creusois !

Derrière moi, 2 fans allumés le sifflent et l’insultent, je me retourne une fois et je fais mes gros yeux… je me retourne une seconde fois en disant qu’ils me cassent un peu les couilles, je les sens prêt à bondir mais ils ne bougent pas, les lâches !

Gauvin termine son show, il a plu et pleuvent les applaudissements. J’observe le public, à 50 ans, je fais jeune quand même… heureusement que mes fils m’accompagnent pour rajeunir la moyenne, ma femme aussi est là mais je ne l’assimile pas à la moyenne. Tiens, je vois Marc, j’envoie un SMS, il me répond en SMS, comme 2 Geeks à un concert de djeuns ! Je passe au bar, je commande 2 bières… 18 euros mais les verres sont consignés et moi juste un con payant. A ce prix, je m’attendais à une Leffe minimale, non, la bière est une pisse abondante et je regrette d’en avoir tant !

Chut, Renaud arrive… une belle entrée en matière même si c’est bien virtuel côté décor. Parlons-en de la scène : des paysages urbains, Paris surtout puis Venise pour « Héloïse », la mer pour « Dès que le vent » … c’est impressionnant, bien fait, nous pénétrons même dans une bibliothèque fantasmée, antre de la culture où les mots défilent (justement, c’est le titre de la chanson, pas le défilé mais « les mots »).

J’ai avancé la bande son un peu vite, petit comeback sur la première chanson, « toujours debout » … et c’est vraiment, ça, Renaud est là, dans la lumière, fort comme un Renaud qui revient de l’enfer. Toujours debout mais pas toujours en voix… puis Renaud enchaîne avec « Docteur Renaud », une très bonne posologie, le public est en liesse…
Plus calme « en cloque », Renaud se (nous) fait plaisir, un grand moment, « marche à l’ombre » suivi des mots (cf. plus haut). La surprise et quelle surprise : « étudiants, poil aux dents » et comme en clin d’œil, « j’ai embrassé un flic » où nous devenons des Playmobils. J’ai une pensée pour Cooks aussi, ai-je chanté en chœur le refrain. Je ne vais pas vous faire toute la playlist, j’ai aimé « à la téloche » et la mise en image qui l’accompagnait (un mur de télés), sur « Manhattan », les chœurs étaient en cœur, « Manu » fut ma cerise… « Morgane de toi » était bien chanté, j’ai moins aimé « 500 connards ». Beaucoup d’émotion pour « la vie est moche », un très beau potpourri pour clore ce superbe récital et une envolée du phénix…

Nous fûmes enfin au Zénith, grâce à notre oiseau passeur, passeur d’images, de mots et d’idées, passeurs de temps, entre l’hier et maintenant, un Renaud, ambassadeur de l’enfance, les mômes étaient invités à squatter devant la scène… et « Mistral Gagnant » sur fond de carrousel est toujours aussi émouvante.

Les lumières se sont éteintes et j’étais aux anges, mes mômes très contents et ma femme ravie. J’ai perdu Marc dans la foule et j’ai acheté le disque de Gauvain. J’ai peu regardé le merchandising, il y avait même des mistrals gagnants en vente libre. Nous sommes repartis comme nous étions venus avec de la magie dans les regards et voilà.

J’ai retrouvé ma Remington virtuelle pour taper mon C.R. de quoi alimenter le site de xxx s’il l’apprécie.
En toute poésie,
Bruno

Marine Tondelier (Facebook)

Rentrer du concert(28.10.16) de Renaud en se disant que certes il a un peu morflé (genre le mec c’est quand même une campagne de santé publique à lui tout seul), mais que l’essentiel est toujours là: un engagement, le spirit thug life, et un public hétéroclite (certains plus hétéroclites que d’autres d’ailleurs ;)) qui prend son pied Toujours Debout.

Seul problème: il manquait L’INTÉGRALITÉ de son répertoire ch’ti (Tout in haut de ch’terril, Les Tomates, M’lampiste, bref tout l’album post Germinal écrit avec Edmond Tannière). C’est un scandale… à réparer la semaine prochaine à Lille?

 

Nicolas Ganz  (Facebook)  27 et 28 .10.2016

Bon, ma seringue se vide à vue d’œil : plus qu’une dose et ce soir 29 octobre 2016 23h15, suis à sec …
Avec toi, Frangin Renaud, le temps passe vraiment trop vite.

Le temps passe mais ” La génération Renaud, c’est bien la génération de l’éternelle jeunesse … ”
Au Zénith de Paris, pour ton retour chez toi 13 ans après, les générations de tous âges peuplent tribunes et fosse.

Tu annonçais, au printemps, en évoquant le décor du spectacle, que ” nous en aurions pour notre argent ” … Je confirme :
Les hologrammes magiques font leurs effets grandioses pour illustrer tes poèmes.
Tu as monté un stratagème 3D bien huilé qui m’en met plein les yeux tous les soirs.

Du début du concert aux dernières notes de ton medley final magnifique, tu fais un putain de Boucan d’enfer plus joyeux que la chanson titre album de ton premier retour des bas fonds.

Plus haut, j’évoquais la fosse.
Ce n’est pas ” la fosse commune des temps ” de Tonton Georges, mais bien la fosse du carré dansant pour Java, tango, Rock ( pop rock ), slow …

Car dans cette fosse dansante, tu pourrais y être avec nous : et oui, jamais en place tu bouges beaucoup d’un bout à l’autre de la scène. C’est super ça, bravos !

Et qui parle de slow, se souvient de ses premiers amours de jeunesse :
Écoliers, poil au nez
Lycéens, poil au mains
Forumeurs, poil aux comme tu disais à la Cigale 2007, Frangin
Etudiants, poil aux dents !

Non, tu n’as pas et tu n’hériteras jamais de la génération de Michèle Torr …
Tes fidèles de la première heure qui ont trouvé l’amour à 20 ans ( tant mieux pour eux ), ont fait des bébés qu’ils ont nourri au bib Renaud.
Les chats ne font pas des chiens, bien que ces animaux s’entendent bien, élevés ensemble tout petit.

C’est vrai aussi dans le sens inverse de la vie, avec un goût de nostalgie du temps passé qui nous colle à la peau …
Demande à Marco Marc Naretto alias ” L’asticot “.
Et oui, comme il dit ” mercredi, jour des gosses “, ben notre ami Marco est finalement retombé dans son enfance, en famille ! Une soirée au Zénith avec sa maman qui ne t’avait pas vu sur scène depuis … Argenteuil 1977.
Et aux dires de Madame Maman Marco, tu n’a pas pris une ride, pas plus que nos Maman-Papa ( ceci-cela ) que nous chérissons !

Ce mercredi soir, ma belle BB Brigitte Babsy Blancheteau, charmante partenaire de danse sur ” Germaine “, est venue avec sa Maman, une première pour sa mère repartie enchanté.
BB de retour hier soir !

Ta Tite famille est venue à ta première du 11 octobre, Frangin, et revient plusieurs fois ( Lolita et ta petite fille Héloïse ), ta Domino t’es restée très proche ( présente encore ce 27 octobre ).
Et un brin taquin avec ta Lola qui en a l’habitude, tu la joues sur le thème ” les absentes ont toujours tort ” : ce jeudi, tu as dédicacé sa chanson à sa maman Dominique, présente sans l’intéressée dont tu es Morgane. Filou, va !!!

Après le 14 octobre avec mon vieux pote Fred Fréderic Touraine, c’est l’ami surfeur plongeur Nicolas Gatineau qui revient te voir ce 27, 13 ans après Boucan.

Ce 28 octobre veille de la dernière parisienne, je suis accompagné par un marin marrant, Gérard alias ”
« Capitaine Gégé Haddock le Viking Corsaire Breton Corse » “. Il joue aussi de la musique ( saxophone, piano, clavier ) et on fait souvent des bœufs rythmiques Renaud-Brassens.

Toi Frangin, toujours aussi émouvant en rimes qu’en proses d’entre deux titres, tu convies ce vendredi tes ami(e)s de Charlie Hebdo en VIP. Tu les annonces pour présenter ” J’ai embrassé un flic “, et tu te mets dans la poche les irréductibles fidèles récalcitrants à ce titre reportage sur cette grande manif’ fraternelle et pacifique du 11 janvier 2015.
Oui, ils sont tous bien là ce soir, les survivants ( Luz, Riss, Patrick Pelloux, Coco and co ) de cette tragédie.
Tes ami(e)s disparu(e)s ( Cabu, Wolinski, Charb, Honoré ans co ), qui brillent aujourd’hui comme des étoiles pour t’éclairer et te guider, sont là tous les soirs et même à chaque seconde de ta vie dans ton coeur.

Pour accompagner les ” Charlie “, y a aussi ton jumeau David qui est là, avec Béjo ton premier batteur et mon ami Erwan L’éléouet.

Et si j’en crois cette foule sentimentale, par leurs ” hourras ” et leurs signes d’amitiés, ce monde qui converge vers toi chaque soir ( les moins de 12 ans que tu convies à deux mètres de toi aux barrières de fosse, les ados, les 30, les quadras, les quinquas, et les 68tards nostalgiques ) sont aussi enchantés que moi.

Ce soir, c’est ta der parisienne 2016 au Zénith de Paris.
À minuit, je serai en manque, m’faudra ma dose de ” Renaud “, toi ma came contre l’ennui, la solitude et la déprime.

Toi tu seras sur les routes de la tournée province-europe … Les copines et les copains d’étapes prendront la relève pour t’époumoner tout l’amour que l’on a pour toi et que tu nous rends avec générosité et tendresse depuis plus de 40 piges.

Mercis mon Renaud !
Suis ” Morgane de toi ! ” mon Frangin !
Renaud, mon oncle ” mon frangin, mon poto, mon copain, mon ami, tu m’tiens chaud, Renaud O’ !!!

Le renard rebelle, insoumis et anti-conformiste notoire : ton ami Nicolas ( comme ton frère disparu dont j’ai découvert l’éphémère existence dans ton autobiographie géniale ).

Gauvain Sers et Martial Bort (Facebook) 29.10.2016.

Souvenir (…) du dernier chapitre. Le 10ème du nom. C’est passé tellement vite…. Comme un bon bouquin qu’on est dégouté d’avoir fini mais qu’on a tellement aimé lire. Un immense merci à Renaud et à son public incroyable. On va avoir du mal à s’en remettre de cette parenthèse inattendue. Et puis, tout un zénith qui chante “joyeux anniversaire” quand même… Y’a pas plus beau cadeau.

Le P’tit Monde de Renaud 

Heureux qui comme Phénix a rencontré Renaud ! ENFIN !!! Après 2h30 de concert au firmament de la béatitude, nous l’avons rencontré, lui avons témoigné notre admiration et avons reçu ses encouragements pour continuer notre chemin dans son P’tit Monde ! RENAUUUD !!!!
Il a dit qu’il viendrait nous voir sur scène alors, sachez-le : Peut-être aurez-vous la chance d’être assis à ses côté lors de notre tournée Belge ou de notre résidence au Théâtre du Palais-Royal !   Sur le compte ULULE de la Troupe car , comme beaucoup de troupe théâtrale, joindre les deux bouts demande beaucoup d’efforts et d’imagination ( les Mistral gagnant en font partie!)

Emilie Aziza ( par Courriel)

 Zénith de Paris 29 octobre 2016.
Super concert !!!! Pas de regret j ai grandie avec toute tes chansons. C’ était super on a passe un super moment entre frère et sœur. J’ ai 3 concert : boucan d enfer, rouge sang et phénix tour. J’ espère en voir d’ autres et pouvoir toujours les partager avec mon frère et ma sœur !!!!

 Nicolas Ganz (Facebook) La Der du Zénith 29.10.2016

Octobre, J’étais sur mon p’tit nuage.
Et ce matin du 30 octobre 2016, j’ai le blues du Chardonay, une vraie gueule de bois à l’ébauche de l’écriture de ma chronique, la dernière déjà, hélas …

Ma seringue est désespérément vide depuis hier soir 23h15, quelques minutes après l’envol en feu du Phénix vers les cieux provinciaux européens …

Quand l’éclairage de la scène a laissé place aux pauv’ néons de la salle, j’ai pris un bon coup de bambou ( de ceux de la bambouseraie de Anduze, près de Lauret et de Sète, tant qu’à faire ).

Hier soir, à la sortie du Zénith,
” J’ai croisé les roussins
Uniformes bleu foncé
Et képis sur le crâne ”
J’ai enlacé un flic, embrassé une fliquette
” Z’Ont cru bon d’ajouter
Qu’y z’aimaient la jeunesse
Pis j’suis rentré tout seul
Même pas en état d’ivresse ”

Hier à not’ Rendez-vous des z’ami(e)smours
” Hou là là je me suis mis minable
Putain de muflée que je me suis pris
Lamentable ”
Des comme ça j’en prends qu’ deux par an
A l’Horloge de Porte de Pantin,
” J’ me souviens même plus c’ qu’on fêtait ” ( rien, pas d’ pot d’amitiés hier soir, Alexel Fanfan, Brigitte Decampenaire et Coeur de Verre ?  ou sans moi )
” Mais on a pas bu trop d’ tisane
C’ matin j’ai une casquette plombée
Sur le crâne ”

Des valses musettes ” Java, Tango, Rock n’ roll, Slow ” comme ça, ça vous laisse de bons souvenirs, mais des ” coups d’ poignards dans votre jeunesse / C’ que c’est triste “, ma jeunesse envolée qui ne renaît qu’avec Renaud.

” J’ bois jamais trop mais j’ bois assez
Quoique des fois j’en renverse un max
Dans l’ caniveau devant le troquet
J’ laisse des traces ”

Sans News d’ ” after ” de mes copines qu’étaient dans la fosse, j’ai finalement laissé l’Horloge dans mon rétro, mis le cap au 180 degrés marin donc plein sud vers mon Paris sud Porte de Vanves-Brancion.

” J’ai rejoins ma turne au radar
En filant des coups d’ pompes aux parcmètres
Et en insultant les trottoirs
Pour qu’y s’arrêtent
Chez moi j’ai réveillé ( personne )
En m’ cognant l’ pied nu contre un meuble
ça m’a fait mal jusque dans ma montre
Quelle horreur ”

Heureusement, mon dimanche 30 octobre est propice à un retour en douceur au quotidien chagrin : week-end famille sympa chez mes parents dans le Perche Vendômois.
C’est un sas avant l’ennui qui me reprendra mercredi.

7 mois de sevrage avant ton retour Porte de Pantin espéré 2017, mon Renaud. C’est loin, trop longue attente, une éternité !

Tu reviendrais en mai, tout pile poile pour l’entre-deux tour et le deuxième tour des prochaines Présidentielles tant redoutées ?

La consigne pour le second round du 6 mai 2017 des prochaines élections élyséennes : ” Votez bien, votez rien !! … Ça va gueuler ! ” en même temps, voter républicain anti-démocrate et voter ” bleu marine qui me fait gerber “, c’est du pareil au même.

D’ici là, je veux rassurer mes z’ami(e)smours qui vont très bientôt retrouver le Frangin Renaud à domicile, pratiquement sur le pas de leur porte.

Et peut-être bien que serai là aussi, je ne me vois pas attendre le milieu du printemps pour revoir le Boss.

Dites mes potos en région, y a t-il encore des places par chez vous ( j’aurai plus qu’à trouver une chambre pas chère pour pieuter avant de reprendre route ou tgv ) .A Caen ( Ludovic Heuzey ).Dans les Vosges à Nancy ( Franck Chartier de Epinal ). Tours

Le Phénix a euthanasié sa bronchite et son rhum qui n’ont jamais eu raison de son talent.

Tous les soirs, le meilleur remède à ce tracas domestique est pour notre pote l’amour qu’on lui porte.
Pas besoin de cachetons ” La médecine est une putain, son maquereau c’est le pharmacien ! ”

Hier soir 29 octobre, pour la der parisienne 2016 de Phénix Tour au Zénith de la Villette, Malone est présent. Le petit batteur de 10 ans ” oublie tous les vautours “, son Papa ” est bien là ” : ” toujours vivant, rassurez vous, toujours la banane, Toujours debout ! ”

Pour la der, quelle plus belle invitée VIP de charme que la jolie Nolwenn Leroy ? Renaud lui dédicace son Hymne à la Paix, cette somptueuse ” Ballade Nord-Irlandaise ” qui nous fait chavirer de bonheur !
La belle ” Miss ” Bretagne ” avait repris cette merveille pour ” La Bande à Renaud “.

Quelle plus belle invitée que Nolwenn ? Je ne vois pas !

Manque bien aussi une petite Belge à qui on doit beaucoup, autant qu’à Fabien ” Grand Corps Malade ” aujourd’hui …Axelle Red, la jolie rousse de feu, aurait fait sensations en invitée vedette Vip SCÈNE pour le fameux duo sur le titre qui avait ravivé la flamme artistique de Renaud : ” Caravane-Maboule ” ” Manhattan-Kaboul ” né sous la plume inspiratrice de Boucan d’Enfer.

De ces soirées de printemps indien 2016 Porte de Pantin, au Zénith, ” il me restera ça … ”
Le Frangin Renaud de nouveau bout en trin de service et toujours aussi taquin, slalomant de long en large sur la scène, pas ” debout comme une Tour Eiffel derrière mon micro ! ”
Dans l’orchestre, on retrouve avec joie et bonheur 4 des musiciens de sa bande à Renaud :
Michael Ohayon : chef d’orchestre, chœurs, guitares, arrangements, réalisateur à la direction musicale.
Jean-François ” Tintin ” Berger : chœurs, piano, claviers, accordéon, orgue.
Geoffrey Richardson : violon, guitare acoustique, mandoline et tin whistle.
Philippe Draï : batterie, chœurs, percussions.
Deux p’tits nouveaux :
L’Arménien de l’équipe Marco Papazian : guitare.
Le grand Belge Evert Verhees remplace le corse Dominique Grimaldi : basse.
Manquent à l’appel notre pianiste breton Alain Lanty ( engagé sur une autre tournée ) et l’irremplaçable Jean-Pierre ” Titi ” Bucolo, présent par la pensée avec ” La Mère à Titi ” …
Avec un grand mercis beaucoup infiniment pour Gauvain Sers et son acolyte Martial Bort : super concert de trente minutes en première partie de Renaud. Chapô les gars, quels talents !!
Et aujourd’hui, un Happy Birthday pour Gauvain !!!

Le décor 3D d’hologrammes ferait pâlir de jalousie les plus grands réalisateurs de cinoche ( et pas seulement les films projetés à Créteil  ).

Bon c’est vrai, le Phénix taille moins de costards sur ce tour … Je prends donc un peu la relève pour tailler des tailleurs à une certaine Sophie Delassein ( de mes couilles ).
” Au cinoche de Créteil, y jouait que des pornos,
Moi ça m’ disait trop rien, j’ les avais déjà vu ” Ça la décoincerai un peu, c’ te journaleuse …
Cette pétasse de pisse copie à L’Obs, je ne sais pas trop où la classer sur l’échiquier politique. Mais tous les soirs, bien planqué dans l’ombre, je lui ai dédicacé deux couplets de deux titres bien trempés :

” Une p’tite bourgeoise bêcheuse
Maquillée comme un carré d’as
A débarqué dans mon gastos
Un peu plus tard
J’ai dit à Bob qu’était au flipp’
Reluques la tronche à la pouffiasse
Vises la culasse
Et les nibards
Collants léopards homologués chez SPA
Monoï et Challimard
Futal en skaï comme Travolta
Qu’est ce qu’è vient nous frimer la tête
Non mais elle s’ croit au Palace
J’ peux pas sacquer les starlettes
Ni les brunasses
Avant qu’elle ait bu son cognac
J’ l’ai chopée par le colback
Et j’ui ai dit
Toi tu m’ fous les glandes
Pis t’as rien à foutre dans mon monde
Arrache toi d’ là t’es pas d’ ma bande
Casse toi tu pues
Et marche à l’ombre ”

Déjà que j’la croise dans mon gastos, pas d’bol c’est ma voisine de palier dans mon HLM 😬

” Au troisième, dans mon HLM,
y’a l’espèce de connasse,
celle qui bosse dans la pub’,
l’hiver à Avoriaz,
le mois d’juillet au club.
Comme toutes les décolorées,
elle a sa Mini Cooper,
elle allume tout l’quartier
quand elle sort son cocker.
Aux manifs de gonzesses,
elle est au premier rang,
mais elle ne veut pas d’enfants
parc’que ça fait vieillir,
ça ramollit les fesses
et pi ça fout des rides,
elle l’a lu dans l’Express,
c’est vous dire si elle lit ! ”

Arrêtes, j’ai peur … Je rêve ou bien quoi ! ? Bien sûr, cet aparté sur cette journaleuse mal léchée, pour ne pas dire mal baisée ( car elle doit être bien malheureuse dans sa p’tite vie de merde pour parler comme ça de Renaud et écrire sur le Frangin qu’il serait un antisémite repenti … Pfff ! porte na wouak ! ).

Voilà, le live de la bande son de ma vie s’est arrêté … Pendant quelques mois, ou moins. Mercis encore mille fois pour tout, du fond du coeur  mon Frangin Renaud que j’aime infiniment beaucoup.

Tu vas me manquer, tu sais. Prends bien soin de toi, de ton petit Malone, de Héloïse et de sa maman Lolita.   Ton Ami Nicolas.

 Radiblog

Voici mon compte rendu du concert de Renaud du 15 octobre 2016 au Zénith de Paris.

Un mois.
Un mois déjà que cela s’est passé.

Aujourd’hui, j’ai envie de vous raconter le concert de Renaud.
C’était au Zénith de Paris le samedi 15 octobre 2016.
Je l’avais vu pour la première fois dans ce même lieu en 1988.
28 ans plus tard, toujours un immense plaisir de le voir, de l’entendre.
Pour tout vous dire, j’étais sûr de ne pas être déçu malgré ses passages télévisuels avec sa voix éraillée, et lorsqu’il chantait, on entendait bien que c’était du playback.
N’empêche que j’avais encore envie de le voir sur scène !!!!
Le concert avait lieu vers 21h00.
J’avais réservé ma place au mois de mars 2016!!!! Mon fils et sa petite amie venant me chercher  en voiture à la fin du spectacle.
Ils avaient eux dîner pas très loin de la Villette.
J’ai trainé un peu dans la capitale, bu quelques bières, grignoté un peu, et rebu quelques bières. Y avait du soleil et il faisait bon.
Je voulais profiter de cette fin de journée d’où le départ vers 16h00 de mon domicile.
19h00, je m’avance vers le Zénith.
Files d’attente, 6 ou 7 files de plusieurs dizaines de mètres.
Tous les âges sont là. De ma génération et un peu plus vieux, des quadras, trentenaires et des jeunes de 15 et plus.
C’est vrai que Renaud a su rassembler toutes les générations.
Je reviens à la file d’attente, la mienne.
Devant moi un couple d’un peu plus de soixante ans.
L’homme m’apprends qu’il était cuisinier et à la retraite depuis 6 mois.
On discutaille un peu.. Comme pour moi, la première chanson entendue était « Marche à l’ombre »qui date de 1980. Moi j’avais 14 ans et lui 24 ans. Et pis on se raconte quelques autres banalités………..
Derrière moi, deux jeunes.
Un gars, une fille.
A peine 50 ans à eux deux. Ils ont découvert Renaud avec « Manhattan Kaboul ». c’était leur première fois au zénith ce soir là.
Ils me disent qu’ils ont un peu peur que sa voix flanche un peu.
Je leur réponds qu’il n’a jamais eu de voix et que ce n’est pas pour cela qu’on l’aime. Ils acquiescent.
Un peu plus loin, dans une autre file d’autres jeunes. 25 à 30 ans, une dizaine à peu près, bières à la main qui fredonnent des titres de leur idole, notre idole.
Ils sont un peu éméchés mais pas trop. Ils chantent faux, aussi faux que Renaud diraient certains
Au bout d’un quart d’heure, ils ont arrêté de chanter brailler pour prendre des photos. Ouf!!!!!!
Les portes s’ouvrent. Les premiers de chaque file commencent à rentrer.
Faire la queue en général j’aime pas trop.
En même temps qui aime poireauter dans une file d’attente?
Mais ce samedi là, comme je l’ai dit plus haut, je voulais profiter de cette soirée.
Alors, je suis patient.
Je regarde les gens. Quelques femmes attirent mon regard.
Je me dis que j’aimerai bien discuter avec l’une ou l’autre. De Renaud ou d’autres choses.

Je rentre enfin moi aussi.
Des fans achètent des bandanas, des tee shirt et autres accessoires.
Moi je m’achète une bière, puis une autre.
Trois au total.
Faire la queue m’a donné soif.

Je cherche quelque minutes l’endroit où je dois être placé..Une jeune demoiselle m’accompagne à mon siège. Je lui file une petite pièce.
Bin oui, c’est bien écrit que les jeunes demoiselles ne sont rétribuées que par les pourboires qu’on leur laisserait.
19H50 et des poussières.
Gauvin SERS en première partie.
Je connais un p’tit peu grâce à Marie.
Ils on chanté 5 titres. J’ai adoré.

21h00 et des poussières d’étoiles………….les lumières s’éteignent.
La scène s’illumine.
Renaud apparait.
La musique de « Toujours debout » retentit dans la grande salle.
Renaud chante.
Je ferme les yeux. Très éraillée mais on entend bien les paroles.
Deuxième chanson : « Docteur Renaud, Mister Renard ».
Derrière, un grand écran s’anime avec des effets visuels magnifiques.
Puis «  En cloque »,  « La pêche à la ligne.
Sa voix est mieux.
Je suis bien.
Je suis content.
Il chante « Les mots », ma préférée sur le dernier album.
« Héloïse », » Hyper cacher »…………..
J’applaudis, je chante, je tape des pieds comme en 1988.
A ma gauche, une jeune fille applaudi avec sa main droite sur sa cuisse droite. Il lui manque l’autre bras. De temps en temps elle tape dans la paume droite de son p’tit copain.
Puis…….quelques notes…..puis « Dès que le vent soufflera ».
D’un seul coup, plus de 6000 personnes debout. Les incontournables sont là aussi : « Manu », « La balade nord irlandaise », « Pochtron », « Mistral gagnant », « Germaine »…….45 minutes debout à siffler, à applaudir!!!!!!!!!!
Je ne sais plus trop si les chansons sont dans le bon ordre.
Presque la fin.
Renaud revient avec « Marchand de cailloux », puis un medley avec les titres comme « Pierrot », « Hexagone », « Miss Maggie »……….
Une soirée inoubliable.
Ce soir là Renaud a donné de la voix.
35 ans que je le suis!!!!!
2h30 de concert!!!!!!

Mon fils et ma belle fille m’ont ramené.
Je suis arrivé chez moi vers minuit 15.
J’avais mis du champagne au frais.
On a vidé la bouteille.Enfin moi et ma belle fille.Mon fils conduisait.

Il y avait beaucoup de petites lumières dans cette grande salle du Zénith ce soir là.
Il y en avait une grande lumière dans mon p’tit cœur.
Je devais lui raconter ce concert…………. Elle a dû être heureuse de me voir heureux cette  nuit là. C’était une belle soirée. C’était ma soirée.

Au suivant ! Au suivant ! ♪♫  ♪♫

Les photos c’est ici                    et là