La chanson Mistral Gagnant dans le second film de "Quand je serai petit" de Jean-Paul Rouve, dont la sortie est annoncée pour le 20 juin 2012.
Pour sa deuxième réalisation, Jean-Paul Rouve retombe en enfance. L'ex-Robin des bois est repassé derrière la caméra après Sans arme, ni haine, ni violence en 2007, pour livrer une oeuvre emprunte de tendresse et de doutes, intitulée Quand je serai petit. La bande-annonce, qui débute sur les notes de piano de Mistral gagnant de Renaud, annonce la couleur.
Quand je serai petit raconte une drôle de rencontre. Celle de Mathias, 40 ans, et d'un enfant, lui aussi prénommé Mathias. Troublé par la ressemblance entre ce petit garçon et l'enfant qu'il fut au même âge, il se lance dans une quête insensée sur les traces du petit qui risque bien de bouleverser son existence et son équilibre familial.
Saint Maïeul a écrit :
A noter aussi la référence à la pochette de l'album "Laisse Béton - Place de ma mob" dans le court-métrage Foutaises de Jean-Pierre Jeunet ( à 2 minutes 06 ).
Petite rectification à faire, ce n'est ni Jeunet qui s'est inspiré de la pochette de l'album de Renaud ni Renaud qui s'est inspiré du court de Jeunet.
En fait ce tag "place de ma mob" existait non loin de l'école de cinéma ou Jeunet était étudiant, école dans laquelle Renaud avait quelques potes et donc passait les voir de temps à autre. Et tout le monde délirait bien sur ce tag assez amusant.
Dans le court de Jeunet on voit le tag original ( le véhicule a été rajouté par Jeunet) alors que sur la pochette de l'album de Renaud c'est la même idée qui est reprise mais le tag a été refait dans un autre endroit pour coller à la photo.
Jeunet en parle d'ailleurs dans une interview donné à Fluide Glacial y'a une bonne dizaine d'année de ça (c'est comme ça que je l'ai su) et je croit qu'il en cause aussi dans un bouquin (à confirmer pour le livre).
On va y arriver !
En ce moment, vous êtes débordés et vous avez la tête sous l’eau ? Faîtes-vous du bien, vous murmurent les bonobos.
C'est l'histoire d'un photographe qui cherchait depuis longtemps..... et qui m'a trouvée sur Twitter !
Alors avec les infos données par Born, il a contacté Jean-Pierre Jeunet, puis David Séchan, et voilà ! 18 avenue du Maine, à côté de la gare Montparnasse... "Je ne sais pas pourquoi , je cherchais absolument une petite ruelle crado...sûrement à cause de la lumière sur la pochette de l'album et de l'état du mur. Mais en fait non. Je suis passé à côté plusieurs fois, sans même percuter." "Il faut qu'on retrouve une mob toute vieillotte, pour aller faire des photos devant ce mur.
Moi de toute façon, j'y retournerai. Pour d'autres photos et montages."
N'hésitez pas à le contacter ! C'est lui, là : https://www.facebook.com/PanameUrbex https://twitter.com/PanameUrbex
Elle quitte le vilain phenix mais aimera toujours Renaud.
Marie la Belge a écrit :
C'est l'histoire d'un photographe qui cherchait depuis longtemps..... et qui m'a trouvée sur Twitter !
Alors avec les infos données par Born, il a contacté Jean-Pierre Jeunet, puis David Séchan, et voilà !
Il t'a précisé si ce que j'avais dit sur le tag "original" à propos de Jeunet était vrai ou si c'est mon cerveau (et/ou ma mémoire) qui me joue des tours?
En tout cas super montage... et d'ailleurs tous les montages sont excellent... gros boulot de recherche et grosses références cinématographiques... vraiment plaisant.
La première décision vient du coeur et l'intelligence, dont nous sommes tous dépositaire, doit faire ce que notre coeur décide.
La normalité n'est pas le summum de ce qui peut s'atteindre.
Anne-Claire Damaggio
Si je trouve l'idee originale, je trouve au contraire de born que le montage est a chié
Bon j,ai pas la pretention de faire mais un bon graphiste peux faire largement mieux
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Marrant ça. J' avais toujours pensé que qu' il y avait 5 ou 6 étages d' immeuble au dessus de la photo.
Sinon cet aprèm', je suis passé à côté de l' impasse Florimont. Ben on a beau dire, quand même, ça rend tout chose !