Mon frère
Modérateur : modérateurs
Mon frère
Mon frère
Par Landoras
"P'tite conne" de Renaud!
Je me serai damnée pour ton rire enfantin,
Pour ces instants ou l’on se disputait pour rien…
Oui, je me maudirai pour garder en mémoire
Tous nos moments de joie, tous nos moments de gloire,
Quand on se bagarrait sans trop savoir pourquoi
Tu avais tant besoin de t’éloigner de moi.
Mon frère, ô! pitié souviens-toi
Que malgré nos rancœurs, moi je n’aimais que toi.
Si peur de devenir l’adulte que je fuis,
Peur de te voir franchir les portes de la vie :
Suivre cette lueur qui t’éloigne de moi
Qui réchauffe ton cœur, met le mien en émoi,
Je voudrais fuir le temps, oublier ce supplice,
Revivre à tes cotés tous nos moments complices.
Mon frère ait une pensée pour moi
Viens, avant de partir, me serrer dans tes bras.
Et si j’avais un fils, pourrais-je le lui dire ?
Renaud l’a fait pour moi, il comble ce désir
De cet esprit poignant à chialer comme un gosse
Sous la fatalité de souvenirs précoces.
Je voudrais un enfant sans apprendre à l’aimer
Mais j’ai peur de te perdre, mon frère adoré.
Mon frère, c’est oublier que toi
Tu te débrouilles seul en m’oubliant parfois.
Tous ces instants ou l’on croyait bien trop se voir,
Qui deviendront regrets quand surviendra un soir,
Un ultime moment pour t’offrir mon amour,
Avant de t’envoler, de partir sans retour,
De figer ton visage d’un rire ravi,
Avant de déployer tes ailes pour la vie.
Mon frère, ne te retourne pas,
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
Mon frère, ne te retourne pas
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
Mon frère, ne te retourne pas
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
Mon frère, ne te retourne pas
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
http://www.maah3.com/00%20aa%20mon%20frere.htm
Par Landoras
"P'tite conne" de Renaud!
Je me serai damnée pour ton rire enfantin,
Pour ces instants ou l’on se disputait pour rien…
Oui, je me maudirai pour garder en mémoire
Tous nos moments de joie, tous nos moments de gloire,
Quand on se bagarrait sans trop savoir pourquoi
Tu avais tant besoin de t’éloigner de moi.
Mon frère, ô! pitié souviens-toi
Que malgré nos rancœurs, moi je n’aimais que toi.
Si peur de devenir l’adulte que je fuis,
Peur de te voir franchir les portes de la vie :
Suivre cette lueur qui t’éloigne de moi
Qui réchauffe ton cœur, met le mien en émoi,
Je voudrais fuir le temps, oublier ce supplice,
Revivre à tes cotés tous nos moments complices.
Mon frère ait une pensée pour moi
Viens, avant de partir, me serrer dans tes bras.
Et si j’avais un fils, pourrais-je le lui dire ?
Renaud l’a fait pour moi, il comble ce désir
De cet esprit poignant à chialer comme un gosse
Sous la fatalité de souvenirs précoces.
Je voudrais un enfant sans apprendre à l’aimer
Mais j’ai peur de te perdre, mon frère adoré.
Mon frère, c’est oublier que toi
Tu te débrouilles seul en m’oubliant parfois.
Tous ces instants ou l’on croyait bien trop se voir,
Qui deviendront regrets quand surviendra un soir,
Un ultime moment pour t’offrir mon amour,
Avant de t’envoler, de partir sans retour,
De figer ton visage d’un rire ravi,
Avant de déployer tes ailes pour la vie.
Mon frère, ne te retourne pas,
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
Mon frère, ne te retourne pas
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
Mon frère, ne te retourne pas
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
Mon frère, ne te retourne pas
Pour ne pas voir mes larmes quand tu partiras.
http://www.maah3.com/00%20aa%20mon%20frere.htm
Re: Mon frère
magnifique!!!
et ta soeur....???
et ta soeur....???
Re: Mon frère
c'est une perle, et t'es trop con pour l'enfilermalone a écrit :et ta soeur....???
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Re: Mon frère
La femme est libérée, la mère est piégée.
Re: Mon frère
ce qui est bien avec les perles c'est qu'on peut les enfiler des 2 cotés ...
E kreiz an avel, atao!
- Blaise Poulossière
- Messages : 3878
- Enregistré le : 12 juin 2006, 14:01
- Localisation : Meyzin-Peutard (Jura)
Re: Mon frère
Mais le fil doit-être bien mince...
Re: Mon frère
Devant la perle rare, parfois on n'en mène pas large.
La femme est libérée, la mère est piégée.
Re: Mon frère
Le cheval nous voit plus grand que nous sommes avec son oeil. Ce n'est que grâce à cela que nous l'avons domestiqué.
E kreiz an avel, atao!
Re: Mon frère
c'est ce qu'on dis, mais j'ai jamais rien trouver sur cette affirmationYann quib a écrit :Le cheval nous voit plus grand que nous sommes avec son oeil. Ce n'est que grâce à cela que nous l'avons domestiqué.
Quand il n’y aura plus que l’absence
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Quand il n’y aura plus que silence
Quand tu te seras éloignée
Quand il n’y aura plus de nous
Quand il n’y aura plus de toi
Que restera-t-il de moi ?
Que restera-t-il de toi ?
Re: Mon frère
Les scientifiques font des expériences sur des mouches drosophiles parce que la structure de leur cerveau est extrêmement proche de la notre...
E kreiz an avel, atao!
Re: Mon frère
Les femmes voient bien clair. C'est grâce à ça qu'on ne s'est pas laissé faire.Yann quib a écrit :Le cheval nous voit plus grand que nous sommes avec son oeil. Ce n'est que grâce à cela que nous l'avons domestiqué.
La femme est libérée, la mère est piégée.
Re: Mon frère
Nous tentons d'oublier que nous sommes des animaux, mais la nature nous le rappelle....
E kreiz an avel, atao!
Re: Mon frère
T'es en train de lire du Lao-Tseu, Yann ?
Soundtrack of my life
"Le réalisme est la bonne conscience des salauds"
George Bernanos.
"Le réalisme est la bonne conscience des salauds"
George Bernanos.
Re: Mon frère
c'est froid ...
Un philosophe a dit un jour : "le mystère des pyramides c'est le mystère de la conscience dans laquelle on n'entre pas".
Un philosophe a dit un jour : "le mystère des pyramides c'est le mystère de la conscience dans laquelle on n'entre pas".
E kreiz an avel, atao!